Social Distance & Frédéric Chopin Ballades

Ausdruck der Gedanken durch Klang.

Das unausprechbare Wort des Menschen ist Klang.

Die Manifestation unserer Gefühle durch den Klang.

Die undefinierte Sprache Musik. Die Kunst die sich durch Klänge äußerst, heisst Musik.

Die Kunst seine Gedanken in Klängen auszudrücken.

Die Kunst Klänge zu beherrschen. Der Gedanke ausgedrückt durch Klang. Ich habe dem Klavier anvertraut was ich keinem Menschen gestehen wollte. Denken Sie nicht Chopin sei weich und geduldig gewesen. Er wurde mehr als einmal wütend erlebt. Chopins eigene Worte waren: „Verwechseln Sie nicht Gefühlsduselei mit Empfindsamkeit“. Waren sein Leben und Körper durch Krankheit und Leid gezeichnet, so ist es doch das große Missverständnis dass er zwar geschwächt aber nicht schwach war. Er hat sich gerade nicht seinem Schicksal hingegeben. Seine blauen Augen sprechen mehr durchgeistigt als verträumt, sein Lächeln wurde nicht bitter. Majorca Briefe bezeugen absolute Glücksmomente seines Lebens. Er giesst seine Seele in Kompositionen wie andere in ein Gebet. Balade Nr. 3 und 4, rein instrumentale Werke ohne literarisch poetischen Hintergrund. Im unausgesprochenen Wissen um seinen eigenen frühen Tod und dem gleichzeitigen Verweigern die Hoffnung aufzugeben.


“L´expression de la pensée par les sons.

La parole indéfinie (indéterminée?) de l'homme, c'est le son.

La manifestation de notre sentiment par les sons.

La langue indéfini de la musique.

L'art se manifestant par les sons est appellé musique.

L'art d'exprimer ses pensées par les sons.

L'art de manier les sons.

La pensée exprimée par les sons.” (citation F.Chopin)

“J'ai confié au piano ce que je ne voulais avouer à personne.”

Ne pensez pas que Chopin était doux et patient. Il a été vu en colère plus d'une fois. Les propres mots de Chopin étaient: "Ne confondez pas sensiblerie et sensibilité". Si sa vie et son corps ont été marqués par la maladie et la souffrance, c'est encore le grand malentendu qu'il était affaibli mais pas faible. Il ne s'est abandonné pas à son destin. Ses yeux bleus parlent plus spirituellement que rêveusement, son sourire n'est jamais devenu amer. Les lettres de Majorque attestent de moments de bonheur absolus dans sa vie. Il déverse son âme dans des compositions comme quelqu´un d´autre dans une prière.


Les Balades n°3 et 4, œuvres purement instrumentales sans fond poétique ou littéraire. Dans la connaissance tacite de sa propre mort prématurée et en refusant simultanement de renoncer à l'espoir.

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Katinka von Richter